Vous êtes ici

Recherche dans les textes de "À lire pour vivre"

Luc 1

2020-B-Lc 1, 5-25 - samedi 3e semaine AVENT- thérapie d'appréciation

Durant cette neuvaine de Noël débutée jeudi dernier, la liturgie est riche de textes, tous orientés pour nourrir notre attente d’une naissance qui a marqué l’histoire des croyants et des non-croyants; celle du Créateur qui se fait créature, enveloppée de langes et couchée dans une pauvre mangeoire (cf. Lc 2, 13-14). Béni soit celui qui vient visiter son peuple. Ce chant ouvre chaque matin la prière de l’Église. Il prend en ces jours préparatoires une connotation différente.

2020-B- Lc 1, 26-38 -Immaculée conception- nous sommes des innocentés par Dieu

Je ne crois pas me tromper en disant que Bernadette Soubirous n’a pas compris grand-chose de cette dame qui lui déclarait : je suis l’immaculée conception. Cette déclaration n’est pas compréhensible non plus à nos oreilles de croyants pour qui la préservation du péché originel n’est plus audible aujourd’hui, écrit Joseph Moingt.

2020-A-Lc 1, 39-56 - Assomption- Marie une femme «métissée»

Marie n’a jamais célébré son assomption. Elle l’a vécue bien avant la déclaration du pape Pie XII le premier novembre 1950 (Munificentissimus Deus), il y a soixante-dix ans cette année, bien avant son oui à Dieu pour qu’il fasse d’elle ce qu’il veut. Marie fut une «tablette» qui permit à Dieu d’y écrire ce qu’il veut. Et Dieu a écrit que Marie est une femme, une grande femme qui, quoi qu’on dise d’elle, n’atteint ni n’ébranle son humble condition. Marie, mère de Dieu, a vécu sa vie dans une mort cérébrale de son moi.

2020-A-Lc 1, 26-38 - annonciation de Marie

S’il y a un instant où il faut se réjouir avec éclat, rehausser l’allure d’une fête, se taire pour ne pas dire des paroles creuses, c’est bien en ce jour où un envoyé du ciel annonce à Marie une nouvelle tellement incroyable qu’elle doit être vraie : le Fils de Dieu devient fils d’une vierge. Dieu revêt l’homme et une femme devient mère de Dieu. Incroyablement vrai !

2019-A-Lc 1, 39-45 - samedi 3e semaine AVENT- style de Marie ou de Zacharie

l y a, rapporte Luc, l’annonciation à Zacharie. Il y a celle à Marie. L’une fut annoncée dans le temple, dans le Saint des Saints, à un prêtre. L’autre dans une maison perdue dans un petit village éloigné, Nazareth, et de surcroit à une laïque, une femme. Quel contraste entre ces deux annonciations !

Luc, en rapportant ces deux récits, appelle à un changement d’époque, de l’Ancien au Nouveau Testament ; à un changement de style de vie, de pouvoir sacerdotal à serviteur ; à un changement de lieu, du temple à la rue.

2018-C- Lc 1, 46-56 -samedi 3e semaine Avent - vivre à l'envers

Que peut-on chanter de plus grand que le Magnificat ? Que peut-on annoncer de plus beau que de glorifier le Seigneur par sa langue, par sa vie, par son cœur ? Ce chant ouvre des perspectives inimaginables sur comment bien vivre sa vie. Il profile un chemin pour donner à sa vie un tournant évangélique. Un tournant social aussi.

2018-C-Lc 1, 39-48 - Notre-Dame Guadeloupe- Juan Diego

Émerveillement. C’était un 12 décembre 1531, Marie, comme c’est son mode fonctionnement, choisit un inconnu, un non instruit, l'indien Juan Diego, pour qu’on élève ici ma petite maison sacrée. Va au palais de l’Évêque de Mexico, et tu lui diras que je t’envoie pour lui révéler combien je désire qu’en ce lieu il m’offre une maison, qu'il me construise un temple dans la plaine.

2018-C-Lc 1, 26-38- Immaculée conception- une belle surprise de Dieu

Quelle belle surprise Dieu nous offre en cette fête de Marie immaculée ! Dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament, chaque fois que Dieu nous surprend, c’est pour annoncer un nouveau commencement dans l’histoire de la foi. Il intervient pour nous sortir d’une foi paralysante, figée dans l’immobilisme du «toujours faire comme avant» (Pape François).

2018-C-Lc 1, 5-25- mercredi 3e semaine AVENT- être des familiers de Dieu

Nous venons d’entendre la première description officielle de qui sera Jean Baptiste : rempli de l’Esprit saint, il marchera en présence du Seigneur. Les actions de Jean-Baptiste et le baptême qu’il administrait ne le font pas grandir. Jean-Baptiste est grand parce qu’il marche en présence du Seigneur. Il est grand parce qu’il vit immergé en Dieu. Il marche, vit, agit en présence du Seigneur.

Pages

S'abonner à Luc 1