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Luc 1

2008-B-Lc 1, 39-48 -Vendredi 2e semaine avent- Notre Dame de la Guadaloupe

Jésus a choisi ses apôtres parmi les moins nobles de son peuple. Ce choix étonnant se poursuit dans cette fête de Notre Dame de la Guadeloupe où Marie a choisi un pauvre indien, n’appartenant à aucune des catégories sociales reconnues de l’époque, quelqu’un de rien, de non crédible comme il le disait lui-même, pour faire connaître à l’évêque son intention de voir ériger en terre mexicaine un sanctuaire à son nom. Marie a choisi un moins que rien pour évangéliser un clergé qui se croyait en possession de Dieu.

2008-B- Lc 1, 26-38 Immaculée conception Lettre écrite de la main de Dieu

Paul parle dans ses écrits de l’existence d’une lettre plus précieuse que les autres parce que c’est une « lettre écrite non pas avec de l’encre, mais avec l’Esprit du Dieu vivant ». Paul donnait ce qualificatif à la jeune Église de Corinthe « connue et lue par tous les hommes ». Nous pouvons sans errer dans la foi, affirmer que Marie est la plus belle des lettres « écrites de la main de Dieu ». Cette lettre qu’est Marie nous rappelle comme vient de l’exprimer la 2e lecture que Dieu « nous a choisis pour que nous soyons saints et irréprochables sous son regard

2008-A- Lc 1, 39-56 Assomption- Marie saisit de joie

Comment parler de Marie ? Aujourd’hui, l’Église nous invite moins à parler de Marie qu’à nous réjouir avec elle, qu’à nous laisser saisir par sa joie. Moins parler pour « méditer », pour « contempler », pour « conserver » sa joie dans nos cœurs.

Grande fut sa joie lorsque l’Ange la salua. Grande fut sa joie quand elle éprouva en elle la venue de l’Esprit saint qui accomplit cette union merveilleuse du Fils de Dieu qui devient son Fils. Grande fut sa joie de tenir dans ses bras ce Fils, d’en prendre soin, de Le voir faire Ses premiers pas, d’entendre Ses premières paroles.

2008-A-Lc 1, 26-38 Annonciation magnificat de Dieu envers Marie

Quand Marie a exprimé son MAGNIFICAT, quand elle a chanté « Mon âme exalte le Seigneur », elle venait d’entendre le Magnificat de Dieu à son endroit. L’annonciation, c’est le MAGNIFICAT de Dieu à l’endroit de Marie. Dieu exalte de joie. Il magnifie la grandeur de Marie. Par la voix de l’Ange, Dieu donne de la grandeur à « son humble servante ». L’annonciation, c’est Dieu qui célèbre la beauté de Marie

2007-A- Lc 1, 39-45 Vendredi 3e semaine avent Une histoire de joie

Deux femmes au sommet de la joie humaine et spirituelle portant deux enfants inattendus. Deux femmes, l’une « avancée en âge », réduit à un double silence, celui de la honte d’être « femme stérile », celui de ne plus pouvoir s’exprimer avez Zacharie et qui résume dans sa personne toute l’histoire de l’attente de Dieu; et l’autre, venue du Soleil levant, l’Orient, toute jeune «comblée de grâce(Lc 1, 27-28) » qui annonce dans sa personne l’Eglise des millénaires à venir.

2007-C- Lc 1, 39-56 Assomption : une femme enveloppée de soleil

Parce qu’elle a partagé son corps avec celui de son Fils,
parce qu’elle a eu part aux souffrances de son Fils,
parce qu’elle a accompagné son Fils sur la route de sa passion,
parce qu’elle a eu le cœur transpercé comme lui annonçait le vieillard Siméon,
Marie, « femme enveloppée de Soleil » (1ière lect) aujourd’hui partage sa gloire.

2006-C- Lc 1, 26-38 Immaculée conception-« être Marie»

En célébrant le « je suis l’Immaculée Conception » pour reprendre les mots de Bernadette Soubirous, l’Église ne fait que répondre à cette parole prophétique, inspirée par l’Esprit saint, prononcée par Marie elle-même : « Toutes les générations me diront bienheureuse ». Invitation nous est faîte en cette saison mystique de l’attente non de regarder Marie avec émerveillement, mais de regarder avec Marie dans la même direction qu’elle

2006 -C-Lc 1, 46-56 Vendredi 3e semaine avent: - magnificat

Quelle belle prière qui nous dit Dieu. Qui nous parle de Dieu. Ce chant de Marie est l’une de plus belles homélies sur Dieu, de ce Dieu qui sait regarder sa servante, qui relève, qui fait en elle de grandes choses. Mais quelles sont «ces grandes choses» qui transportent Marie à magnifier le Seigneur du plus profond de son cœur ? «Ces grandes choses» qu’elle gardait, qu’elle contemplait dans son cœur ?

2005-A- Lc 1, 26-38 Vendredi 27e semaine ordinaire Notre Dame du Rosaire

Au moment où se termine l’année de l’eucharistie, il est bon de se souvenir que l’encyclique du même nom nous fut donnée (2002) comme conclusion à l’année du Rosaire. Très significatif comme sens. Dans l’eucharistie, il y a l’Incarnation dont Marie a été le Chemin. Il y a la Croix et Marie est là près d’elle. Il y a tout le mystère de l’Église dont Marie est la Mère. Incarnation, Croix, communion à toute l’Église, trois lieux qui disent l’Eucharistie. Trois lieux où Marie a eu le « privilège » d’être associé jusqu’à nous faire « respirer » son propre mystère.

2005-A- Lc 1, 57-66 Saint Jean Baptiste - .

Figure de la rencontre du passé et de l'avenir, offrant un baptême qui annonce au autre baptême, enfant surprise, inespéré qui transporte de joie sa mère Élisabeth avancée en âge, joie déjà éprouvée par autre visite, celle de Marie, sa cousine, Jean qui "formé dès le sein de sa mère" (Is 49, 1, 1ière lecture) avant même de naître, "a tressailli d'allégresse" (Lc1.43) ; Jean "cette lampe qui brûle et qui brille" (Jn 5,35), " qui a préparé la venue du Christ en proclamant un baptême de conversion" (Ac. 12,24) est comme son nom l'indique "Dieu fait grâce". (Lc1,60) Il est dans sa personne " ce qu'il y a de plus merveilleux pour Dieu" (Gn 18,20). Son parcours est aussi le nôtre.

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