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Recherche dans les textes de "À lire pour vivre"

Luc 1

2016-A-Lc 1, 67-79 - samedi 4e semaine Avent - Benedictus :Une parole à entendre

Dire quoi au juste ce soir ? Honnêtement, les participants aux célébrations ce soir, sont des non-initiés aux rites liturgiques. À la Parole aussi. Pour eux, le signe de la crèche est un conte provenant d’un passé folklorique. Il est loin d’être signifiant dans une société qui s’emprisonne dans la possession. Comment dire Noël, si les héritiers ne sont même pas conscients de l’existence d’un testament conférant un héritage, et encore moins intéressés par son contenu ? À quoi sert, se demandait le pape Paul VI, de dire ce qui est vrai, si les hommes de notre temps ne nous comprennent pas ?

2016-C-Lc 1, 39-56- Marie, en mode sortie

La visitation est une scène pleine de miséricorde. Nous pouvons dire que la visitation est la miséricorde en chemin. Deux raisons prouvent cela. D’abord, Marie a été la créature la plus graciée, la plus « miséricor-diée ». Marie, comme chacun de nous, est une femme sauvée. Marie ne possède pas cet état par nature : elle l’a reçu de la bienveillance divine. Sa naissance est un mystère de miséricorde qui rejaillit sur toute l'humanité.

2015-C-Lc 1, 39-48- samedi 2e semaine Avent -Juan Diego :

Le jour où Marie de Nazareth reçut l'annonce de l'Ange Gabriel, l'histoire du monde bascula dans l'abime de la miséricorde Dieu. Le jour où Juan Diego reçut la visitation de Marie, et qu'elle imprima son image sur sa tilma, ce vêtement mexicain traditionnel, attestant ainsi l'authenticité de sa visitation, l'Amérique s'ouvrit à l'Évangile.

2015-c-Lc 1, 5-25- samedi 3e semaine Avent- Zacharie, une histoire qui finit bien

Nous aimons tous les histoires qui se finissent bien. En voici une. Il était une fois deux époux âgés, Élisabeth et Zacharie ; ils n’avaient pu avoir d’enfant. L’ange Gabriel apparut à Zacharie et lui annonça qu’il aurait un fils. Élisabeth mit au monde un enfant quelques mois plus tard (Lc 1, 5 et 25).

Nous voyons bien la figure de Jean-Baptiste. Il est une des figures dominantes de ce temps de l'Avent. Nous portons moins nos regards sur son arrivée dans la vie de ces vieillards. Regard-accomplissement de l'humainement impossible. Élisabeth était stérile (Lc 1, 7).

2015-c-Lc 1, 46-56- mardi 4e semaine Avent - Magnificat ou la force de la faiblesse.

Marie connaissait les psaumes par cœur. Quand elle chante son Magnificat (Lc 1, 46-55), elle reprend intégralement les versets du psaume 74. Les humbles, le mot a mauvaise presse aujourd'hui, ceux qui sont toujours derrière, les oubliés, les dédaignés, ceux que le pape François, s'arrêtant, salue en priorité dans ses déplacements, Dieu a pris leur visage en naissant parmi nous.

2014-B- Lc 1, 26-38- samedi 3e semaine avent- se réjouir de la joie de Marie

Bénie sois-tu, Toi qui ravis le cœur de Dieu ! Ces mots sont ceux des premières vêpres de l'Annonciation. À quelques jours de Noël, nous sommes devant une des merveilles du Seigneur. Marie ! Une créature humble et faible comme nous, choisie pour être Mère de Dieu, Mère de son Créateur (homélie du pape, 13 octobre 2014).

2014-A- Lc 1, 26-38 -mardi 27e semaine ordinaire - Notre Dame du Rosaire

Salut Marie ! Mais qui saluons-nous quand chaque jour nous récitons le saint rosaire ? Saint Jean Damascène, l'un des plus grands apôtres de Marie, réponds que nous saluons une terre sacrée, une terre sainte qui fit éclore un fruit qui nourrit tous les humains. Un fruit si délicieux, qu'il arrache en nous tout ce qui est moins qu'humain. Oui, Marie porte en son sein un fruit béni... entre toutes les femmes. Un fruit à goûter. Délicieusement bon, dirait un langage publicitaire.

2014-A-Lc 1, 57-66 -Saint Jean-Baptiste- la voix de la Parole

Y-a-t-il plus grande joie que d'être loué par Jésus ? Et c'est bien ce qui est arrivé à Jean-Baptiste dont Jésus déclara que parmi les enfants des femmes, Il n'y avait de plus grand (Mt 11,11). Jésus est incapable de flatterie. Il ne loue pas quelqu'un pour en recevoir des avantages. Le bienheureux Guerric écrivait au XIIe siècle que Jean-Baptiste fut lueur matinale, astre de l’aurore, précurseur du Soleil, qui annonce aux mortels l’imminence du jour.

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