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Recherche dans les textes de "À lire pour vivre"

Jean 6

2008-A : Vendredi 3e semaine Pâques -Jn 6, 52-59 des paroles inimaginables .

Pour ouvrir son Évangile, Jean pose un verdict étonnant : « il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu » (Jn1, 11). Il nous présente un Jésus venu donné la vie, donner vie à la vie. Pourtant la Vie qu’était Jésus, la Vie qui s’exprimait avec les mots et les images de son temps, n’a pas été reconnue.

2008-A :Jeudi 3e semaine Pâques -Jn 6, 44-51 je suis le pain de vie

Je fais mien les mots que Philippe adressait au fonctionnaire éthiopien (1re lecture) «Comprends-tu vraiment ce que tu lis ». Et j’entends aujourd’hui encore sa réponse : « Comment pourrais-je comprendre s’il n’y a personne pour me guider »? Comment comprendre que nous pouvons entrer plus profondément dans ce mystère d’un « Dieu nourriture »? Et Philippe, poussé par l’Ange de Dieu, « instruit par Dieu lui-même » (Ev) lui annonça la Bonne Nouvelle de Jésus.

2008-A : Mardi 3e semaine Pâques -Jn 6, 30-35- nous « décoller» de nous-mêmes

«Donne-moi de ce pain » « donne-moi de ton eau pour que je n’aie plus jamais soif » « celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif ». Il y a de quoi là-dedans à nous « boucher les oreilles, à pousser de grands cris » (1e lect) d’incrédulité tant ces paroles dépassent notre expérience humaine. Quand comprendrons-nous que nous venons d’entendre des paroles merveilleuses?

2007- C : Vendredi 3e semaine Pâques -Jn 6, 52-59 Ma chair est ma nourriture

« Comment cet homme-là peut-il nous donner sa chair à manger ? (Jn 6,52). Cette parole a indignée, choquée l’entourage de Jésus. Ce qui serait choquant, c’est qu’en la recevant à nouveau, nous habitués à l’entendre, nous en restions sans nous interroger. Ce qui serait bouleversant, c’est de ne pas mesurer l’incroyable folie du message qu’elle fait résonner aujourd’hui encore.

2007-C : Vendredi 2e semaine Pâques - Jn 6, 1-6 multiplication des pains

« Lorsque nous voyons avec les yeux de la foi le Sauveur devant nous, comme nous le décrivent les différents récits des apparitions du Christ, alors grandit notre désir de l'accueillir en nous dans le Pain de Vie. Le pain eucharistique à son tour avive notre désir de faire toujours plus profondément connaissance avec le Lui sur nos rivages d’aujourd’hui »

2007-C : Vendredi 3e semaine Pâques Jn 6, 52-59 Ma chair est ma nourriture

« Comment cet homme-là peut-il nous donner sa chair à manger ? (Jn 6,52). Cette parole a indignée, choquée l’entourage de Jésus. Ce qui serait choquant, c’est qu’en la recevant à nouveau, nous habitués à l’entendre, nous en restions sans nous interroger. Ce qui serait bouleversant, c’est de ne pas mesurer l’incroyable folie du message qu’elle fait résonner aujourd’hui encore.

2006-B : Dimanche 21e semaine ordinaire Jn 6- 60-69 Manger Jésus

Dans quelques instants nous allons communier au Corps du Christ. Lequel d'entre nous va se scandaliser en recevant ce sacrement, comme se sont scandalisés les auditeurs de Jésus lorsqu'il leur dit qu'il fallait manger sa chair ?Saint Jean précise que « beaucoup de ses disciples qui avaient entendu s’écrièrent : ce qu’il dit là est intolérable, on ne peut pas continuer à l’écouter ». Au terme de son chapitre 6, Jean tient un langage très dur.

2006-B - Dimanche 19e semaine ordinaire -Jn 6, 41-51 : Une saveur à partager

« Je suis le pain vivant descendu du ciel ». Ces paroles furent prononcées par Jésus à la synagogue de Capharnaüm. Elles étaient d'une audace suprême. Elles le demeurent encore aujourd'hui.

L'évangéliste rapporte les réactions, récriminations de l'assistance. Qui peut descendre du ciel? Comment peut-il se prendre pour le pain de Vie? Nous connaissons ses parents. Audace suprême. Jésus ne s'embarrasse pas de précautions élémentaires. Il veut éveiller à autre chose : Il déclare qu'il est Vie, Pain de Vie.

2006-B-Dimanche 17e semaine ordinaire - Jn 6, 1-15 mystère de la démesure

Une question « où acheter du pain ? ». Une réponse « pour le mettre à l’épreuve ». L’épreuve dont il s’agit, est celle de la démesure. Dans la 1ière lecture, Élisée, « homme de Dieu » s’est retrouvé lui aussi en face de la démesure : « 20 pains d’orge + du grain frais dans un sac » pour nourrir 100 personnes. L’évangile va beaucoup plus loin dans l’invraisemblable «cinq pains d’orges et deux poissons pour nourrir 5 milles personnes, mais qu’est-ce que cela pour tant de monde ? »

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