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Jean 6

2010-C- Lundi 3e semaine Pâques -Jn 6, 22-25 : l’eucharistie, sacrement de la prière

Maître, apprenez-nous à prier, avaient demandé les apôtres. Et Jésus leur apprit le Notre Père. Au terme de sa vie, Jésus a tout résumé sa manière de vivre dans le sacrement de la prière : le sacrement de son corps. Levant les yeux au ciel, il prit du pain, il prit du vin et rendit grâce. Jésus est, dans sa personne, la pierre angulaire d’une vie passée à rendre grâce, d’une vie de recueillement dans son Père, d’une vie en état d’oraison dans le Père.

2009-B : Dimanche 17e semaine ordinaire -Jn 6, 1-15 geste salutaire ?

Ce n’est pas un geste sensationnel, un geste d’éclat que Jésus vient de poser. A preuve, Jésus sachant qu’on voulait faire de lui leur roi ... se retira tout seul dans la montagne. Si ce n’est pas un geste d’éclat, alors qu’est-ce c’est ? C’est une démonstration merveilleuse de la puissance illimitée de Jésus, un geste salutaire, un geste qui donne de l’énergie, qui remet en marche, qui revitalise une foule qui a faim.

2009-B -Dimanche 20e semaine ordinaire -Jn 6, 51-58 Folie ou sagesse ?

Qui est chrétien ? La question a été posée en 1965 par un jeune théologien Balthasar. Elle avait provoquée de vives réactions. Aujourd’hui la question à nous poser n’est plus qui est chrétien mais bien qui est le chrétien ? Au 2e siècle, l’auteur de l’épître à Diognète répondait : les chrétiens ne se distinguent des autres ni par un pays, ni par une façon de parler, ni par une manière de s'habiller.

2009-B : Dimanche 19e semaine ordinaire -Jn 6, 41-51 se nourrir du Christ pour le nourrir

À l’heure des accommodements raisonnables, il est plutôt déraisonnable d’entendre affirmer dans l’évangile : Le pain que je donnerai, c’est ma chair. Déraisonnable de nous savoir devant une table somptueuse dit saint Augustin où l’on mange le maître du banquet lui-même. Déraisonnable parce que personne ne nourrit ses invités avec lui-même : et pourtant, c’est ce que fait le Christ Seigneur.

2009-B : Dimanche 18e semaine ordinaire - Jn 6: 24-35 Manges et tu vivras

Ce dont nous sommes invités à digérer ce matin – je vous exprimais dimanche dernier qu’il n’est pas suffisant nous nourrir de l’eucharistie mais qu’il faut en digérer ce pain – c’est cette déclaration audacieuse, choquante, incompréhensible que Jésus vient d’affirmer : moi, je suis le pain de la vie. Un Dieu nourriture, n’est-ce pas à nous faire mourir d’amour disait sainte Thérèse des Andes, carmélite morte à 20 ans.

2009-B : Dimanche 21e semaine ordinaire -Jn 6, 60-69 voulez-vous partir vous aussi ?

Voulez-vous partir vous aussi ? Telle est la question que Jésus nous pose en finale de ce chapitre 6 sur le Pain de vie. Ne répondons pas trop vite « non ». Laissons-nous surprendre par le choc de la question que nous pose Jésus comme il la posait hier à ses apôtres. Laissons-là résonner en nous. Laissons-là nous travailler car il y a en nous quelque chose qui nous pousse à répondre à la fois « oui » et « non ». Jésus – quelle délicatesse de sa part !

2009-B : Lundi 3e semaine Pâques -Jn 6, 22-29 eucharistie : un sacrement qui ressuscite

Jésus ressuscité se montre à ceux qui l’ont connu sous des aspects tellement nouveaux qu’ils ne le reconnaissent pas immédiatement. Marie, près du sépulcre, le prend pour le jardinier. Sur la route d’Emmaüs, les deux disciples le prennent pour un voyageur. Les apôtres ne savent pas quel est cet étranger debout sur la rive du lac et qui leur demande un peu de poisson.

2008-A -J Jn 6, 60-69 -ubilé de vie religieuse -Magnificat

Tout au long de cette semaine – c’est crucifiant pour les homélistes – Jean nous a présenté, à partir de la multiplication des pains, sa lecture du mystère de Pâques. Mystère d’un Dieu venu nous dire que nous avons tellement de prix à ses yeux que, pour éviter que nous tombions de faim sur la route du retour, il nous fait asseoir à sa Table. Chaque eucharistie, c’est Dieu qui nous célèbre, nous ressuscite, nous donne du tonus en nous invitant à une table « cinq étoiles ».

2008-A : Vendredi 3e semaine Pâques -Jn 6, 52-59 des paroles inimaginables .

Pour ouvrir son Évangile, Jean pose un verdict étonnant : « il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu » (Jn1, 11). Il nous présente un Jésus venu donné la vie, donner vie à la vie. Pourtant la Vie qu’était Jésus, la Vie qui s’exprimait avec les mots et les images de son temps, n’a pas été reconnue.

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