2018-B-Lc 2, 33-35 - Notre- Dame des douleurs
Je me souviens de cette mère qui chaque semaine se rendait visiter son fils emprisonné malgré son maigre revenu. Elle me disait, un jour en consultation: comme j’aimerais prendre la place de mon fils. Il n’y avait pas grande différence entre la souffrance de son fils et la sienne. Elle n’avait pas honte de son fils. Elle se sentait même un peu responsable de ce qui lui arrive. Voilà le cœur d’une mère. Voilà le cœur de Marie.