A chaque eucharistie, la finale de la préface nous invite à concélébrer avec les anges et archanges l'hymne trois fois saint du SANCTUS. A l'heure hymne de louange, laisse-nous joindre nos voix pour chanter et proclamer.
Les plus anciens récits parlent d'envoyés, de messagers vivant dans l'entourage de Dieu, appelés "fils de Dieu" (Ps 102,20) , semblables à Dieu lui-même. On les dit protecteurs, quitte la Ville, dirent-ils à Loth, qui va disparaitre.
Les chercheurs de Dieu - et davantage les moines et moniales - savent que leur vie est plus souvent qu'autrement entravée par des attachements aux choses de la terre, le royaume des béelzébouls. Il y a en nous ce combat entre la recherche du Royaume de Dieu et celui de nos "petits royaumes" qui ont nom tantôt une recherche demesurée de soi, tantôt de prendre toute la place, de se faire valoir. Que de lutte intérieure, intestinale, pour se donner la grâce de voir " le jour du Seigneur " (1ere lecture) dont le psaume de ce jour dégage qu'il sera un jour de miséricorde.
A chaque eucharistie, la finale de la préface nous invite à concélébrer avec les anges et archanges l'hymne trois fois saint du SANCTUS. A l'heure hymne de louange, laisse-nous joindre nos voix pour chanter et proclamer.
" Demeurez en moi comme moi en vous" "Tout homme qui croit que Jésus est le Christ, celui-la est vraiment né de Dieu". En la personne de Marie Rose se réalise chez nous cette page Evangélique. Demeurer en Dieu pour porter du Fruit. L'une d'entre vous, Julie, se laisse saisir toute entière par cette page Évangélique. Utilisant, dans les mots de Jean Guitton la plus haute faculté que Dieu respecte...
Aujourd'hui, autour de nous, il y a toute sorte de campagne qui s'organise : de levée de fonds, de solidarité, de recrutement. Chez Luc, Jésus parcourt la Galilée annonçant une " grande campagne de recrutement ". Lentement des hommes et des femmes, émerveillés par son annonce d'un avenir tout proche , merveilleux, répondent à son appel. Ils se joignent à Lui pour la grande annonce du Royaume
Quand les habitants de Sa ville , celle-là où il avait grandi, se firent dire qu'aujourd'hui se réalisait chez eux le salut tant annoncé alors dit Luc tous devinrent furieux et ils le poussèrent hors de la ville (Lc 4,28) .
Parler de combat, c'est évoquer l'effort, se donner de la peine pour quelque chose : " J'ai traversé une lutte éprouvante". Parler de combat, c'est aussi parler de vie : " je me bats pour du travail, pour vaincre la maladie, pour plus de justice". L'effort est la condition habituelle de celui, celle qui cherche à grandir, humainement, spirituellement. Lutter parce que je n'ai pas de temps à perdre, lutter parce que la vie se trouve, se retrouve au bout des efforts.
Pour bien comprendre cette page évangélique, connue et méconnue, il faudrait relire l'émouvante méditation qui forme le premier tiers de Veritatis Splendor . La vie chrétienne, la vie conjugale, c'est plus que l'observance d'un code. C'est suivre Jésus qu'on découvre dans la foi et à qui on s'attache dans l'amour.
" Heureux l'homme qui a une bonne épouse" (Sage 26,1) " Si quelqu'un ne s'occupe pas des siens, surtout des plus proches, il a déjà renié sa foi" (Tm 5,6) " J'avais faim et vous m'avez donné à manger, malade et vous m'avez visité" (Matt25 33.) Autant de textes pour dire la vie d'Elisabeth de Hongrie.
Quelle histoire toute simple. Se voyant congédié, acculé au mur, une solution rapide, une astuce in extremis pour se tirer d'embarras, solution à ce point ingénieuse qu'elle a reçu l'éloge du Maître qui pourtant ne lui avait rien réclamé a titre de dédommagement pour sa mauvaise gestion.
