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Saints d'ici

2012-B:-Jn 15, 1-8- Marie-Rose Durocher- demeurez dans mon amour

Pour m'exprimer avec des mots évangéliques, Mère Marie-Rose est une femme bien ordinaire d'ici qui a su déchiffrer les signes des temps (Mt 16, 3). Et ce n'est pas si simple que cela. Interpréter les signes des temps et y répondre, ce n'est pas seulement sentir l'esprit d'une époque, en saisir ces urgences, c'est écouter ce que l'Esprit dit aux Églises (Ap 2, 7). Cette lecture n'est jamais faite une fois pour toute

2012 -B - Jn 15, 9-17 -Marguerite Bourgeois - une «transmetteuse» de la foi

Vous qui êtes avancés sur ce chemin [de demeurer dans son amour], il vous reste toujours à le préparer afin que, du point où vous êtes parvenus, vous alliez toujours de l'avant... Nous parlons d'avancer sur ce chemin, plût au ciel que nous nous soyons au moins mis en route. Ces mots de Guerric d'Igny (XIIe siècle) ne sont-ils pas une belle manière de nous représenter la vie de celle qui, chez nous, fut la porte de la foi (Benoît XVI)?

2012-B- Mt 25, 31-40- Marguerite d'Youville, une nourrice de Dieu -

Ce ne sont pas ceux qui parlent beaucoup de Dieu, ni les contenus de la foi qui dérangent. Ce qui marque aujourd'hui notre entourage, ce qui le séduit, ce sont plutôt nos manières de croire, d'être des évangiles vivants. D'être des fous de Dieu. Le langage le plus puissant pour dire Dieu, c'est celui de lui prêter notre visage, notre bonté, notre sourire. C'est ce qu'à fait Marguerite d'Youville. C'est ce qu'ont faits les moines de Tibhirine

2012- B: Kateri Tekakwitha- Mtt 12, 46-50 : le lys des Mohawks

Devant cette vie d'une jeune fille de chez nous (Canada), il faut «sortir» la merveille de nos yeux. Surnommée le lys des Mohawks parce qu'elle était douce comme une fleur, Kateri Tekakwitha,née sur la terre des premiers martyrs nord-américains qui deviendra l'État de New York, a été, dès son adhésion à la foi chrétienne à l'âge de 18 ans et jusqu'à sa mort à 24 ans en 1680, victime de ce que nous appelons aujourd'hui l'intimidation.

2010 - C-Mtt 5, 1-12 Marie de l’Incarnation - :

Ce soir, en faisant mémoire de Marie de l’Incarnation, grande mystique et une des fondatrices de notre Église d’ici, nous sommes non pas devant une experte en héroïsme inimitable mais devant une experte en bonheur. Dans la Bible, le bonheur, c’est une vie perdue en Dieu. Marie de l’Incarnation était totalement perdue en Dieu. Elle habitait totalement en Dieu, autant au milieu des affaires de ce monde que dans sa vie de prière.

2009-B -Jn 15, 9-17- Marguerite Bourgeois

Écoutez dit saint Augustin ce que vous savez déjà, méditez ce que vous avez entendu, aimez ce que vous croyez, proclamez ce que vous aimez !... Devant nos yeux, une femme qui a écouté ce qu’elle savait déjà : moi aussi je vous ai aimés ; une femme qui a médité ce qu’elle a entendu : vous êtes mes amis ; une femme qui a aimé ce qu’elle croyait : c’est moi qui vous ai choisis ; une femme qui a proclamé ce qu’elle a aimé : aimez-vous les uns les autres.

2009- B-Mtt 25, 31-40 - Marguerite d’Youville -

C’est aux fruits que nous reconnaissons un arbre (Mtt12, 33). C’est à leurs œuvres que nous reconnaissons ceux et celles qui font profession d’appartenir au Christ. Devant nos yeux, ce soir, une femme qui ne s’est pas contentée de croire, mais qui a mis sa foi en pratique. Marguerite d’Youville a pratiqué sa foi en refusant de dire à ceux qui étaient démunis : va en paix, je vais prier pour toi (Jc2, 15).

2008-A : Martyrs canadiens- Jn 12, 24-26

Une fête non pour réfléchir sur une histoire passée, mais pour contempler aujourd’hui un itinéraire non révolu. Il s’agit moins de savoir qui étaient ces martyrs (Jean de Brébeuf, Isaac Jogues et leurs compagnons), mais bien qui sont-ils pour nous? Que nous disent-ils aujourd'hui? Ils nous disent – et quelle parole pour notre aujourd’hui de foi tellement perturbée! — que « rien, ni la détresse, l’angoisse, la persécution, la faim, le danger, le supplice ne peut nous séparer de Dieu » (1re lecture).

2008-A-: Mtt 5, 1-12 Marie Anne Blondin

« Nous sommes faits pour le bonheur et si la religion ne nous l’offre pas, c’est qu’elle est fausse »Marie-Anne Blondin aurait signer sans hésitation cette réflexion de Maurice Zundel, elle dont la vie ne l’a pas ménagée. En réponse à du harcèlement constant de la part d’homme d’Eglise plus soucieux de leurs intérêts que de l’avancement de cette fondation naissante, elle a opté pour trouver le bonheur non pas dans son entourage, à l’extérieur d’elle-même, mais en elle-même

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