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Saints d'ici

2015-B-Jn 15, 1-8 : Marie Rose Durocher- une grande dame de chez nous (Canada)

Le secret du bonheur, c’est, je dirais, de ne plus tenir compte de soi. Ces mots d’Élisabeth de la Trinité semblent d’un autre monde tant notre époque moderne, pour citer le Pape François se caractérise par une grande démesure anthropocentrique qui donne lieu à un style de vie déviée (Laudatio si, # 122).

2015-B-Jn 12, 24-26 - les martyrs canadiens: une bande d'amis jetée en terre

Quelle est moderne cette histoire du grain de blé ! Les Jean de Brébeuf, les Isaac Jogues, ils sont plus nombreux aujourd’hui que dans les premiers siècles. Nombreux sont les persécutés, tués, chassés, dépouillés du fait d’être seulement chrétiens (Pape François) qui vivent dans leur corps l’heure de Jésus dont parle saint Jean.

2015-B-Mtt 5, 1-12a- samedi 2e semaine pascale- À quoi servent les béatitudes ?

C'est l'une de ces pages où Jésus s'adresse particulièrement à ses proches, ses disciples et non à la foule. Ces huit béatitudes qui, à la fois émerveillent et révoltent... que disent-elles de Dieu? De nous ? Cette page est la peinture fidèle d'un Dieu qui est sorti de lui-même pour venir vers nous. Pour l'exprimer autrement, Jésus trace ici le chemin d'une nouvelle humanité. La sienne d'abord. Ce chemin est, à l'époque de Jésus et aujourd'hui, à l'opposé d'une culture de l'indifférence aux autres.

2014-A Mt 11, 25-30 François d’Assise, un superbe être humain

De quel saint vous vous sentez le plus proche, demandait au pape François, le journaliste non-croyant Eugenio Scalfari qui l'interviewait ? Tout en refusant de classifier par ordre d'importance les quatre saints qu’il venait de nommer, l'évêque de Rome (c'est le titre que François, le pape, préfère) mentionnait sa proximité avec le saint d'Assise qui est, dit-il, l'exemple le plus lumineux de l'agape dont nous parlions tout à l'heure.

2014-A- Jn 10, 11-16 : Mgr de laval, un vrai vivant

Le temps pascal est celui d'un combat. Le combat de la joie. Celui de laisser la joie nous guider (cf. 1 Pi, 3-9), nous travailler de l'intérieur jour après jour, année après année quelque soit la lourdeur de notre quotidien. Cette joie nous la recevons d'un Vivant sorti du tombeau. D'un Vivant sorti d'une vie d'horreur vécue sans animosité, ni désir de vengeance. Cette joie est une force révolutionnaire qui fait toute chose nouvelle (Ap 21, 5). Qui rend toute vie nouvelle. Toute création nouvelle (Ga 6, 15).

2014-A-Mtt.11, 25-30- Frère André. Du collège Notre-Dame, peut-il sortir quelqu'un de grand ?

Il y a l'homme, le frère André, que certains ont vu de leurs yeux, ont touché de leurs mains. Nous admirons son œuvre qu'est l'Oratoire. Il y a aussi un homme à découvrir. Ce qui était caché en lui, son secret, l'emportait beaucoup sur ce qui se voyait. Dieu, celui dont nous saluons en ces jours la visibilité discrète, voire effacée, dans l'histoire humaine, réservait à cet homme sans santé, fragilisé dès sa jeunesse, un parcours incroyable.

2013 - C: Jn 15, 9-17 Marguerite Bourgeois - : une véritable porte de la foi.

C’est aujourd’hui la fête d'une femme venue d'ailleurs, de Troyes en France, pour être ici, chez nous, une véritable porte de la foi. Une source d'inspiration en ce temps d'évangélisation. Une femme véritable mère de la colonie, tant elle a enfanté à la foi, engendré à la foi. Une femme qui a cru en la bonne nouvelle, une admiratrice de la bonne nouvelle, une experte en «demeurance» dans l'amour de Dieu, dans sa Présence. En Sa présence, elle a vécu en ressuscitée. Elle a incarné le ressuscité.

2013 - C : Frère André :il a choisi des illettrés -Mtt 11,25-

Nous venons d'entendre la description d'une nouvelle manière d'être humain: être doux et humble de cœur, être plein de compassion; mener une vie dépossédée de tout joug, de repos en lui. Une page-appel à nous habituer à être complètement humain. C'est humain, dans notre nature profonde, de vivre en Dieu tant Dieu est notre être. Dieu est en toi, disait le prophète Sophonie (3,14-18), c'est lui [...] qui apporte le salut. Il aura en toi sa joie et son allégresse, il te renouvellera […] il dansera pour toi avec des cris de joie [...]j'ai écarté de toi le malheur

2012-B -Mt 25, 31-40 -Mère Gamelin : une sortie de table remarquée.

L'incarnation, c'est Dieu qui se courbe très bas pour nous étreindre de son amour. Cet abaissement décrit l'humilité de Dieu. Notre foi clame qu'un Dieu s'est identifié aux affamés, aux assoiffés, aux étrangers, aux prisonniers, aux mal-aimés. Qu'il se laisse voir en eux. Le Dieu Jésus se réjouissait d'être avec les gens simples et ceux qui sont rejetés par leur entourage et la société. Il montrait ainsi sa nature profonde, sa divinité dans un visage de miséricorde, de douceur, de tendresse, de bonté débordante.

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