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Pâques

2008- A : Mardi 6e semaine Pâques - Jn 16, 5-11 Catherine de Sienne – une merveilleuse présence

Cette page donne « à penser ». Elle nous invite à penser ce qui peut nous arriver, ce que nous pouvons perdre si nous ne recevions pas l’Esprit saint. Sans cet esprit, nous développerions des « signes » de maladie : perte de confiance, perte de certitude, faible conscience ou connaissance de soi. Nous serons laissés à nous-mêmes, n’aurons plus de « défenseur » contre nous-mêmes. Bref, nous vivrions mal nos vies.

2008- A : Jeudi 4e semaine Pâques -Jn 13, 16-20 le service par en bas

Nous avons accueilli, écouté la semaine dernière le chapitre 6 de Jean sur la multiplication des pains. Sa conclusion débordait de clarté : Jésus est Pain descendu du Ciel. Ce chapitre nous parlait que l’eucharistie comme mémoire du « salut par en haut ». Ce matin, Jean ajoute à ce « salut par en haut », celui du « salut par en bas » qu’est l’abaissement de Jésus, son agenouillement en se faisant serviteur. En se mettant, comme une escale à notre service. Quel geste « fou » pour un Dieu ?

2008-A : Vendredi 3e semaine Pâques -Jn 6, 52-59 des paroles inimaginables .

Pour ouvrir son Évangile, Jean pose un verdict étonnant : « il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu » (Jn1, 11). Il nous présente un Jésus venu donné la vie, donner vie à la vie. Pourtant la Vie qu’était Jésus, la Vie qui s’exprimait avec les mots et les images de son temps, n’a pas été reconnue.

2008-A :Jeudi 3e semaine Pâques -Jn 6, 44-51 je suis le pain de vie

Je fais mien les mots que Philippe adressait au fonctionnaire éthiopien (1re lecture) «Comprends-tu vraiment ce que tu lis ». Et j’entends aujourd’hui encore sa réponse : « Comment pourrais-je comprendre s’il n’y a personne pour me guider »? Comment comprendre que nous pouvons entrer plus profondément dans ce mystère d’un « Dieu nourriture »? Et Philippe, poussé par l’Ange de Dieu, « instruit par Dieu lui-même » (Ev) lui annonça la Bonne Nouvelle de Jésus.

2008-A : Mardi 3e semaine Pâques -Jn 6, 30-35- nous « décoller» de nous-mêmes

«Donne-moi de ce pain » « donne-moi de ton eau pour que je n’aie plus jamais soif » « celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif ». Il y a de quoi là-dedans à nous « boucher les oreilles, à pousser de grands cris » (1e lect) d’incrédulité tant ces paroles dépassent notre expérience humaine. Quand comprendrons-nous que nous venons d’entendre des paroles merveilleuses?

2008-A-Jn 20, 19-31- Dimanche 2e semaine Pâques - nous laisser ressusciter

Nous laisser célébrer par Dieu. Cela peut nous étonner, nous combler de joie aussi. Mais ce temps pascal va plus loin que cela. Il nous appelle à nous laisser ressusciter. Nous laisser ressusciter est l’œuvre de l’Esprit de Dieu en nous. Jésus se manifeste pour nous ressusciter. Pour nous empêcher d’être des morts vivants. Pour que nous soyons « plénitude de vie ».

2008-A-Lc 24, 35-48-Jeudi octave Pâques - le ressuscité apparaît dans l'eucharistie

Hier quand Jésus était en Galilée, il n’était pas à Jérusalem. Quand il en prière, à l’écart, il n’était pas avec la foule. Quand il était dans le temple, on ne le voyait pas dans la ville. Durant sa vie terrestre, Jésus n’était que dans un lieu à la fois. Jésus était vu avec les yeux du corps, touché par des mains intéressées. Il entrait en conversation avec toutes les personnes sur son chemin.

2008-B- Jn 20, 11-18-Mardi octave Pâques - Ressuscité ?

Écoutons cette page avec l’innocence d’une première écoute. Il ne s’agit pas d’une page comme les autres. N’écoutons pas ce récit comme celui de la résurrection d’un autre : Jésus. Ne lisons pas cette page comme un événement extérieur, lointain, dont personne ne fut témoin et qui se serait produit au soleil levant. Ce récit, c’est celui de « mon serviteur qui réussira » disait la 1re lecture du Vendredi saint.

2008- A :Jn 10, 22-30- Mardi 4e semaine Pâques -Il faut sortir de nos « enclos » pour entrer dans Le sien

«Mes brebis écoutent ma voix». Si nous écoutons avec les oreilles du cœur cette page de Jean qui lentement tourne maintenant nos regards vers la Pentecôte, nous percevons très bien que nous sommes en présence d’une Voix qui laisse entrevoir une stature d’homme inégalée. Nous sommes en présence d’une « Voix » « monument » (D’ailleurs, c’est ce passage de Jean que l’Église utilise pour la fête de la dédicace) qui ne s’impose pas.

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