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Recherche dans les textes de "À lire pour vivre"

Année b

2014-B- Lc 1, 26-38- samedi 3e semaine avent- se réjouir de la joie de Marie

Bénie sois-tu, Toi qui ravis le cœur de Dieu ! Ces mots sont ceux des premières vêpres de l'Annonciation. À quelques jours de Noël, nous sommes devant une des merveilles du Seigneur. Marie ! Une créature humble et faible comme nous, choisie pour être Mère de Dieu, Mère de son Créateur (homélie du pape, 13 octobre 2014).

2015-B- Mtt.1, 18b-23 - 1ière semaine Noël-saint nom de Jésus

Ton nom est un parfum répandu (Ct 1, 3). Le simple fait de prononcer ce nom devrait nous faire tressaillir de joie. Que ton nom soit notre joie. Que ton nom me sanctifie. Que devant ce nom nos langues se taisent, que le silence nous habite parce que le secret de ton nom est à moi (cf. Is 24, 26). Mon secret est à moi. Puissions-nous, ce matin, dire dans les mots des Cantiques (Ct 3, 4) je l'ai tenu [ce nom] et je ne le lâcherai pas.

2014-B-Lc 10, 21-24- mardi 1er semaine avent- sommes-nous des éclipses de Dieu ?

Je voudrais vous dire un mot et ce mot, c'est la joie. Partout où il y a des chrétiens, des consacrées, il y a la joie. (Pape François, 6 juillet 2013). Présentement nos yeux sont incapables de voir, et quelle joie se serait !, le loup habiter avec l'agneau, le léopard se coucher près du chevreau. (1ière lecture). Notre terre est agitée par de grandes tensions, voire par des actes de barbaries. Notre terre est blessée. Partout font rage des conflits de toutes sortes. Nous ne voyons que cela. Nous ne voyons que violence.

2012 - B- Lc 2, 1-14 Noël, : Devenir plus humain

Notre société lance le message, dont l'écrivain André Comte-Sponville en est le plus illustre représentant, que notre existence humaine personnelle aussi bien que collective, n'a pas besoin de la religion pour être heureux. Il écrit: on peut se passer de religion mais pas de communion, ni de fidélité (L'esprit de l'athéisme, une spiritualité sans Dieu, éd. Albin Michel, 2006, p. 77). Nous l'observons, nombreux sont ceux et celles qui s'épanouissent et se mettent au service des autres sans être soutenus par une foi en Dieu.

2012-B-Lc 14, 12-14 Lundi 31e semaine ordinaire - l'accueil comme porte de la foi.

Pour présenter le synode, un journaliste appelait dans son blog (journal LA CROIX) à une remise à jour par un architecte de la maison-église. Peintures, sols, plafonds, plomberie, électricité : tout a mal vieilli, frappé par le tsunami de la sécularisation. Il nous faut, disait-il, changer notre façon d'habiter la maison-église.

Voilà bien ce que nous suggère ce petit passage de Luc en conclusion de sa réflexion sur la recherche de la première place pour les invités à un repas; Quand tu donnes un diner...n'invite pas tes amis.

2012-B-Lc 21, 1-7 - Lundi 34e semaine ordinaire-la porte de la solidarité

La crise économique actuelle, déclarait, au synode (2012), un évêque canadien, Mgr Lapierre, nous fait découvrir comment l’avarice et la cupidité ont brisé des liens de sens en séparant l’économie de sa dimension sociale dans la vie humaine. Elle montre en acte l'urgence de développer une culture de la solidarité. Il y a autour de nous un envoûtement pour bien se protéger qui conduit à la dérive de l'individualisme.

2012-B -Mt 25, 31-40 -Mère Gamelin : une sortie de table remarquée.

L'incarnation, c'est Dieu qui se courbe très bas pour nous étreindre de son amour. Cet abaissement décrit l'humilité de Dieu. Notre foi clame qu'un Dieu s'est identifié aux affamés, aux assoiffés, aux étrangers, aux prisonniers, aux mal-aimés. Qu'il se laisse voir en eux. Le Dieu Jésus se réjouissait d'être avec les gens simples et ceux qui sont rejetés par leur entourage et la société. Il montrait ainsi sa nature profonde, sa divinité dans un visage de miséricorde, de douceur, de tendresse, de bonté débordante.

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