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Recherche dans les textes de "À lire pour vivre"

Année a

2008-A-: Mtt 5, 1-12 Marie Anne Blondin

« Nous sommes faits pour le bonheur et si la religion ne nous l’offre pas, c’est qu’elle est fausse »Marie-Anne Blondin aurait signer sans hésitation cette réflexion de Maurice Zundel, elle dont la vie ne l’a pas ménagée. En réponse à du harcèlement constant de la part d’homme d’Eglise plus soucieux de leurs intérêts que de l’avancement de cette fondation naissante, elle a opté pour trouver le bonheur non pas dans son entourage, à l’extérieur d’elle-même, mais en elle-même

2008- A -Jn 16, 20-23a- Vendredi 6e semaine Pâques - De votre intérêt.

Devant cette page annonciatrice d’un départ, nous pourrions facilement dire qu’il est question de partir sans quitter. Cette réalité est notre réalité quotidienne. Quand un proche nous quitte, il nous demeure présent en esprit. Nous ne pouvons pas être ensemble tout le temps. Nous ne pouvons pas être gâtés de la Présence de l’être aimé à nos cotés tout le temps. Dans tout le sens du terme, « il est bon que je m’en aille ».

2008-A- Jn 10, 31-42-Vendredi 5e semaine carême -élever nos regards jusqu'à la Croix

Ne nous contentons pas de relire l’histoire de la Passion. Pour bien l’entendre, il faut qu’elle s’accomplisse en nous. « Hâtons-nous » dit saint Grégoire « de (la) mettre en pratique et nous nous ouvrirons ainsi à une plus profonde intelligence du Mystère de la Passion ». « Cette vieille histoire du Golgotha », et nous le voyons dans ce passage de Jean, c’est l’abîme du mal qui se transforme en abîme de miséricorde.

2008- A : Mardi 6e semaine Pâques - Jn 16, 5-11 Catherine de Sienne – une merveilleuse présence

Cette page donne « à penser ». Elle nous invite à penser ce qui peut nous arriver, ce que nous pouvons perdre si nous ne recevions pas l’Esprit saint. Sans cet esprit, nous développerions des « signes » de maladie : perte de confiance, perte de certitude, faible conscience ou connaissance de soi. Nous serons laissés à nous-mêmes, n’aurons plus de « défenseur » contre nous-mêmes. Bref, nous vivrions mal nos vies.

2008-A-Jn 20, 19-31- Dimanche 2e semaine Pâques - nous laisser ressusciter

Nous laisser célébrer par Dieu. Cela peut nous étonner, nous combler de joie aussi. Mais ce temps pascal va plus loin que cela. Il nous appelle à nous laisser ressusciter. Nous laisser ressusciter est l’œuvre de l’Esprit de Dieu en nous. Jésus se manifeste pour nous ressusciter. Pour nous empêcher d’être des morts vivants. Pour que nous soyons « plénitude de vie ».

2008-A-Lc 24, 35-48-Jeudi octave Pâques - le ressuscité apparaît dans l'eucharistie

Hier quand Jésus était en Galilée, il n’était pas à Jérusalem. Quand il en prière, à l’écart, il n’était pas avec la foule. Quand il était dans le temple, on ne le voyait pas dans la ville. Durant sa vie terrestre, Jésus n’était que dans un lieu à la fois. Jésus était vu avec les yeux du corps, touché par des mains intéressées. Il entrait en conversation avec toutes les personnes sur son chemin.

2008-B- Jn 20, 11-18-Mardi octave Pâques - Ressuscité ?

Écoutons cette page avec l’innocence d’une première écoute. Il ne s’agit pas d’une page comme les autres. N’écoutons pas ce récit comme celui de la résurrection d’un autre : Jésus. Ne lisons pas cette page comme un événement extérieur, lointain, dont personne ne fut témoin et qui se serait produit au soleil levant. Ce récit, c’est celui de « mon serviteur qui réussira » disait la 1re lecture du Vendredi saint.

2008-A-Jn 21, 15-19 -Vendredi 7e semaine Pâques - « tu sais que je t’aime »

« Pierre m’aimes-tu? » Nous pourrions comprendre aussi la question autrement : « Pierre où étais-tu? » Différent que de dire « Pierre qu’as-tu fait ? ». Ce qui se dégage de cet interrogatoire de Jésus devrait nous élever jusqu’à l’extase. Ces trois questions nous montrent « combien gros » l’offensé Jésus aime Pierre. Des questions qui laissent entendre que Jésus ne s’arrête pas à des comportements. Jésus préfère dépasser le côté « défaillance », « reniement » pour privilégier l’être profond qu’est Pierre.

2008-A : Jeudi 5e semaine carême - Jn 8, 51-59 : se laisser surprendre par l'inouïe de ce «Je suis»

Si l’une d’entre vous m’exprimait ce matin qu’avant Mère Marie-Rose, elle existait, qu’elle a vu son jour, nous y verrions sans doute un signe évident de perte de mémoire. Il fallait beaucoup de foi pour l’entourage de Jésus dont on savait les origines, fils de Joseph, de la région de Nazareth...

2008- A-Jn 21, 1-4-Vendredi octave Pâques - des yeux du disciple bien-aimé

Il y eut un matin, Jésus se tint sur le rivage et ses disciples ne le reconnurent pas. Ils étaient aveuglés par les événements des derniers qui ont bouleversés leur vie. Ils étaient secoués non seulement par les vagues de la mer, par les vents contraires. « Ils revivaient les ténèbres de l’antique chaos »(saint Pierre Chrysologue). Ils ne voyaient plus rien, ne reconnaissaient plus « leur » Seigneur, leur Jésus. Ils étaient convaincus que tout était fini.

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