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Marie et Joseph

2020-A- Lc 2, 41-51- samedi de la 11e semaine ordinaire- la passion de Marie

En écoutant ce récit de l’aventure de Marie et Joseph (le texte est aussi utilisé pour la fête de saint Joseph) au retour de Jérusalem pour la fête de Pâques, il est facile de comprendre que le couple n’a pas eu une vie facile. Elle fut plutôt une traversée sur une tempête presque permanente. Leur barque nuptiale connut de longs moments de perturbation. On dirait même que le couple n’est jamais arrivé sur une rive pacifique; leur cœur de parents a connu un intense désarroi.

2020-A-Lc 1, 26-38 - annonciation de Marie

S’il y a un instant où il faut se réjouir avec éclat, rehausser l’allure d’une fête, se taire pour ne pas dire des paroles creuses, c’est bien en ce jour où un envoyé du ciel annonce à Marie une nouvelle tellement incroyable qu’elle doit être vraie : le Fils de Dieu devient fils d’une vierge. Dieu revêt l’homme et une femme devient mère de Dieu. Incroyablement vrai !

2019-C- Lc 2, 22-40 - présentation du Seigneur au temple

Quelle belle image à contempler que cette rencontre de deux jeunes parents avec celle de deux vieillards. Ne regardons pas sans intérêt cette rencontre. Ne passons pas outre non plus parce qu’elle y cache l’aube de toute histoire de foi. Le jeune couple voit leur mission se dessiner et les anciens réalisent leurs rêves. L’Orient chrétien appelle ce jour, la fête de la rencontre.

2018-C-Lc 1, 26-38- Immaculée conception- une belle surprise de Dieu

Quelle belle surprise Dieu nous offre en cette fête de Marie immaculée ! Dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament, chaque fois que Dieu nous surprend, c’est pour annoncer un nouveau commencement dans l’histoire de la foi. Il intervient pour nous sortir d’une foi paralysante, figée dans l’immobilisme du «toujours faire comme avant» (Pape François).

2018-B-Mt 12, 46-50- mercredi 33e semaine ordinaire- donation de Marie

Le grand mariologue que fut saint Jean Damascène écrit : ce n’est pas pour vous [Marie] que vous êtes née ; vous avez reçu la vie pour concourir au salut de l’univers et réaliser avec Dieu l’éternel décret de l’Incarnation du Verbe.

Ce n’est pas pour vous [Marie], que vous êtes née. Dès l’âge de trois ans, ses parents l’offrent à Dieu, offrande non symbolique, mais formelle. Marie appartient à Dieu.

2018-B-Lc 2, 33-35 - Notre- Dame des douleurs

Je me souviens de cette mère qui chaque semaine se rendait visiter son fils emprisonné malgré son maigre revenu. Elle me disait, un jour en consultation: comme j’aimerais prendre la place de mon fils. Il n’y avait pas grande différence entre la souffrance de son fils et la sienne. Elle n’avait pas honte de son fils. Elle se sentait même un peu responsable de ce qui lui arrive. Voilà le cœur d’une mère. Voilà le cœur de Marie.

2018-B-Lc 2, 41-51- Coeur immaculée de Marie

La demeure du Fils de Dieu, ce n’est pas d’abord le corps de Marie, mais son Cœur, vient de nous dire l’oraison de ce jour, qui se termine par des mots très forts, pour devenir le temple de sa gloire. L’oraison du huit décembre précise que Dieu a préparé à son fils une demeure vraiment digne de lui. Saint Augustin percevait très bien l’importance à donner à ce cœur : Marie a conçu d’abord son fils dans la foi avant de le concevoir en sa chair.

2017-A-Mt 12, 46-50 - présentation de Marie au Temple- vivre en familier de Dieu

Voici que je viens, j’habiterai au milieu de toi (Za 2, 14). Dès sa conception, Marie, par un privilège de Dieu, se voit tout entière habitée par Dieu. Elle est un chef-d’œuvre de l’artisan Dieu. C’est la familiarité avec Dieu qui fait de Marie un chef-d’œuvre. Marie est plus qu’un disciple, plus qu’une amie de Jésus. Elle est de la maison de Dieu. Des théologiens affirment qu’elle est partie prenante de la trinité.

2017-A-Lc 1, 26-38 - Notre-Dame du rosaire

Je vous salue. Ce sont des mots-salutations ouvrant habituellement tout discours. Des mots contacts avec un auditoire. Et pour nous, ici, des mots contacts avec Jésus. J’ai bien dit avec Jésus. Souvent, pour rencontrer une personne importante, on se sert d’un intermédiaire. C’est un ouvreur de porte qui fait connaître à un autre, nos intentions. Nous connaissons bien l’expression : quelqu’un a parlé pour moi.

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