You are here

Recherche dans les textes de "À lire pour vivre"

Pâques

2008- A -Jn 16, 20-23a- Vendredi 6e semaine Pâques - De votre intérêt.

Devant cette page annonciatrice d’un départ, nous pourrions facilement dire qu’il est question de partir sans quitter. Cette réalité est notre réalité quotidienne. Quand un proche nous quitte, il nous demeure présent en esprit. Nous ne pouvons pas être ensemble tout le temps. Nous ne pouvons pas être gâtés de la Présence de l’être aimé à nos cotés tout le temps. Dans tout le sens du terme, « il est bon que je m’en aille ».

2008- A : Mardi 6e semaine Pâques - Jn 16, 5-11 Catherine de Sienne – une merveilleuse présence

Cette page donne « à penser ». Elle nous invite à penser ce qui peut nous arriver, ce que nous pouvons perdre si nous ne recevions pas l’Esprit saint. Sans cet esprit, nous développerions des « signes » de maladie : perte de confiance, perte de certitude, faible conscience ou connaissance de soi. Nous serons laissés à nous-mêmes, n’aurons plus de « défenseur » contre nous-mêmes. Bref, nous vivrions mal nos vies.

2008- A-Jn 21, 1-4-Vendredi octave Pâques - des yeux du disciple bien-aimé

Il y eut un matin, Jésus se tint sur le rivage et ses disciples ne le reconnurent pas. Ils étaient aveuglés par les événements des derniers qui ont bouleversés leur vie. Ils étaient secoués non seulement par les vagues de la mer, par les vents contraires. « Ils revivaient les ténèbres de l’antique chaos »(saint Pierre Chrysologue). Ils ne voyaient plus rien, ne reconnaissaient plus « leur » Seigneur, leur Jésus. Ils étaient convaincus que tout était fini.

2008-A -Mtt 25 : 31-40- Jeudi 7e semaine Pâques - Catherine de Saint-Augustin

Quel beau texte que celui de Paul aux Éphésiens ! « Prenez l’équipement de Dieu pour le combat.. Tenez les pieds chaussés de l’ardeur à annoncer l’Évangile ne quittant jamais le bouclier de la foi. Prenez l’épée de l’Esprit ». Ce texte semble avoir été écrit pour cette femme Catherine de Saint-Augustin tant il résume toute sa vie en terre d’ici.

2008-A : Vendredi 3e semaine Pâques -Jn 6, 52-59 des paroles inimaginables .

Pour ouvrir son Évangile, Jean pose un verdict étonnant : « il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu » (Jn1, 11). Il nous présente un Jésus venu donné la vie, donner vie à la vie. Pourtant la Vie qu’était Jésus, la Vie qui s’exprimait avec les mots et les images de son temps, n’a pas été reconnue.

2008-A :Jeudi 3e semaine Pâques -Jn 6, 44-51 je suis le pain de vie

Je fais mien les mots que Philippe adressait au fonctionnaire éthiopien (1re lecture) «Comprends-tu vraiment ce que tu lis ». Et j’entends aujourd’hui encore sa réponse : « Comment pourrais-je comprendre s’il n’y a personne pour me guider »? Comment comprendre que nous pouvons entrer plus profondément dans ce mystère d’un « Dieu nourriture »? Et Philippe, poussé par l’Ange de Dieu, « instruit par Dieu lui-même » (Ev) lui annonça la Bonne Nouvelle de Jésus.

2008-A : Mardi 3e semaine Pâques -Jn 6, 30-35- nous « décoller» de nous-mêmes

«Donne-moi de ce pain » « donne-moi de ton eau pour que je n’aie plus jamais soif » « celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif ». Il y a de quoi là-dedans à nous « boucher les oreilles, à pousser de grands cris » (1e lect) d’incrédulité tant ces paroles dépassent notre expérience humaine. Quand comprendrons-nous que nous venons d’entendre des paroles merveilleuses?

2008-A-Jn 20, 19-31- Dimanche 2e semaine Pâques - nous laisser ressusciter

Nous laisser célébrer par Dieu. Cela peut nous étonner, nous combler de joie aussi. Mais ce temps pascal va plus loin que cela. Il nous appelle à nous laisser ressusciter. Nous laisser ressusciter est l’œuvre de l’Esprit de Dieu en nous. Jésus se manifeste pour nous ressusciter. Pour nous empêcher d’être des morts vivants. Pour que nous soyons « plénitude de vie ».

2008-A-Lc 24, 35-48-Jeudi octave Pâques - le ressuscité apparaît dans l'eucharistie

Hier quand Jésus était en Galilée, il n’était pas à Jérusalem. Quand il en prière, à l’écart, il n’était pas avec la foule. Quand il était dans le temple, on ne le voyait pas dans la ville. Durant sa vie terrestre, Jésus n’était que dans un lieu à la fois. Jésus était vu avec les yeux du corps, touché par des mains intéressées. Il entrait en conversation avec toutes les personnes sur son chemin.

Pages

Subscribe to Pâques