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Noël

2016-C-Jn 3, 22-30 - samedi après Épiphanie- ministère de l'effacement

our terminer ce temps de Noël, Jean-Baptiste prépare la table pour l'arrivée de Jésus. Pour l'arrivée de l'Époux à qui l'ami Jean est heureux de laisser le champ libre. Mais ses disciples ne l'entendent pas ainsi. Ils voient en Jésus une concurrence déloyale. Une provocation déloyale. Jésus entre en scène à partir du même endroit où Jean-Baptiste baptisait. Comme si ce n'était pas assez, l'évangéliste observe que Jésus connait un plus grand succès que Jean. Tous vont vers lui.

2016-C-Jn 1, 19-28 - samedi de Noël -être des prophètes de la beauté de Dieu

Il voit ce que le Tout-Puissant lui fait voir. Il tombe en extase et ses yeux s'ouvrirent (Nb 24, 4). Ces mots sont d'un prophète païen, Balaam, qui était pourtant venu pour maudire Israël. Mais le regard de Dieu en lui était plus pénétrant que son regard qui ne voyait que destruction. Ces mots pourraient aussi être ceux de notre peuple aujourd'hui.

2015-B-Mc 6, 34-44 - mardi 2e semaine Noël- la bonté s'est manifestée

Ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, c’est Lui qui nous a aimés. Cette phrase de la première lecture de saint Jean résume le sens profond de Noël. Dans l'enfant se montre à nous la plénitude de la divinité (Col 2, 9). Dans la réalité de notre chair est apparu le Dieu éternel (Oraison) et une préface de Noël nous dit, dans des mots délicieusement savoureux, que la nature humaine en reçoit une incomparable noblesse. Il devient l'un de nous pour que nous devenions éternels.

2015-B-Jn 3, 22-30- mardi 2e semaine Noël- abondance d'eau

Pour conclure ce temps de Noël, l'oraison de ce jour nous offre à la fois un résumé du mystère de Noël et un programme pour les semaines à venir. En unissant sa nature divine à la nôtre ou, comme l'exprime une préface de Noël, en prenant la condition de l'homme, notre nature humaine en reçoit une incomparable richesse. Le texte ajoute : il devient tellement l'un de nous que nous devenons éternels. Dieu a fait de nous de nouvelles créatures. Cela rejoint l'appel qui vous est proposé pour l'année de la vie consacrée quand il est écrit de vivre avec passion ce que nous sommes (message du nonce apostolique du Canada)

2015-B-Jn 3, 22-30- samedi 2e semaine Noël-il y a de l'eau en abondance

Pour conclure ce temps de Noël, l'oraison de ce jour nous offre à la fois un résumé du mystère de Noël et un programme pour les semaines à venir. En unissant sa nature divine à la nôtre ou, comme l'exprime une préface de Noël, en prenant la condition de l'homme, notre nature humaine en reçoit une incomparable richesse. Le texte ajoute : il devient tellement l'un de nous que nous devenons éternels. Dieu a fait de nous de nouvelles créatures. Cela rejoint l'appel qui vous est proposé pour l'année de la vie consacrée quand il est écrit de vivre avec passion ce que nous sommes (message du nonce apostolique du Canada).

2015-B-Mc 1,21-28- mardi 1ere semaine ordinaire- sors de cet hommne

En ouverture de son évangile, Marc nous présente la grandeur et la sainteté de Dieu. Cette grandeur et sainteté laissent entrevoir la distance entre Dieu et nous : saint, saint, saint le Dieu de l'univers. Mais aussi, et c'est rassurant à entendre, cette rencontre à Capharnaüm nous fait pressentir que cette grandeur et sainteté de Dieu nous sont offertes comme plénitude de vie. Ce Dieu lointain (non pas hautain) est aussi ce Dieu nous offrant de partager sa grandeur.

2015-B- Mtt.1, 18b-23 - 1ière semaine Noël-saint nom de Jésus

Ton nom est un parfum répandu (Ct 1, 3). Le simple fait de prononcer ce nom devrait nous faire tressaillir de joie. Que ton nom soit notre joie. Que ton nom me sanctifie. Que devant ce nom nos langues se taisent, que le silence nous habite parce que le secret de ton nom est à moi (cf. Is 24, 26). Mon secret est à moi. Puissions-nous, ce matin, dire dans les mots des Cantiques (Ct 3, 4) je l'ai tenu [ce nom] et je ne le lâcherai pas.

2013-A- Jn 1, 1-18, Octave de Noël, 7e jour- J'ai vu Dieu dans l'homme

Dieu est apparu. Il s’est montré. Il est sorti de la lumière inaccessible dans laquelle il demeure. Dieu est apparu. Il n’est plus seulement une idée, non pas seulement quelque chose à deviner à partir des paroles. Il est apparu. Cela s'appelle une vraie épiphanie. Comment ? En se faisant notre frère. En se faisant humain. Dieu s'est fait homme. Dieu avec nous, Dieu au milieu de nous ! Dieu qui se fait présent à tous les humains sans exception. Qu'elle est grande la gloire de notre Dieu qui hier, aujourd'hui et toujours sait si bien s'enfouir dans la pâte humaine, «contaminer» notre vie dans la sienne !

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