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Luc 7

2022-A-Lc 7, 18b-23- mercredi de la 3e semaine de l'AVENT- celui qui doit venir est...

C’est le vieillard et bonasse Jean XX111 qui disait qu’on a revêtu Jésus de tant de vêtements plus beaux les uns que les autres, qu’on ne voit plus Jésus. Il faut enlever tous ces vêtements, un à un, pour retrouver Jésus. Jean-Baptiste ne reconnaissait plus celui qu’il avait baptisé tant ce qu’on disait de lui sonnait faux à ses oreilles. Son messie attendu n’était pas le messie qu’il voyait. Il ne reconnait plus Jésus. Sa question- es-tu celui qui doit venir- était la question de tout le monde à l’époque.

2021-C-Lc 7, 18b-23- mercredi de la 3e semaine de l'AVENT- poètes sociaux demandés

Portons attention à la réponse que donne Jésus à la question de Jean : es-tu celui qui doit venir ? Jésus est tellement hors norme dans ses agissements que Jean s’interroge s’il est vraiment celui qui doit venir. Comme réponse à Jean, Jésus l’invite à observer que les gens sont debout, que les pauvres entendent, que les aveugles voient. Allez annoncer à Jean ce que vous voyez. Cette brève réponse est un véritable discours-programme. Elle résume toute la vie de Jésus et atteste qu’il a conscience d’être plus que Jonas, plus que Salomon, plus que Jean.

2020-B-Lc 7, 18b-23 - mercredi 3e semaine AVENT- que voyons-nous ?

Nous voyons que Jésus n’a pas répondu à la question de Jean qui s’interrogeait sur son identité. Il a plutôt réorienté son regard sur les signes qui attestaient son identité. Allez rapporter ce que vous avez vu et entendu. Et Luc énumère les signes de l’arrivée de la bonne nouvelle, longtemps attendue.
La réponse de Jésus déplace le regard de Jean. Jésus invite à voir non pas sa personne, mais son souci de rétablir la dignité de chaque humain. Il se dérobe à définir son identité comme il le fera durant toute sa vie publique. Modeste, effacé, Jésus ne se voit pas comme la bonne nouvelle ni comme le Messie longtemps attendu que Jean prêchait par son baptême de conversion.

2020-A-Lc 7, 31-35 -mercredi 24e semaine ordinaire- humain, ce Jésus

Allez jouer sur la place publique. Difficile de ne pas y entendre un appel à une vie hors norme. Hors norme, ne signifie pas légèreté, frivolité, désinvolture. Hors norme, c’est la cartographie (ou topographie ?) du chrétien. Pour faire connaître la foi chrétienne, l’auteur de la lettre à Diognète, au IIe siècle, décrit leur manière de vivre. Les chrétiens sont des gens ordinaires comme tout le monde, mais capables de la joie du partage. Cela fascinait les non-chrétiens.

2019-C-Lc 7,31-35-mercredi 24e semaine ordinaire-vivre notre foi hors les murs

Il y a beaucoup de profondeur dans cette scène du gamin qui joue de la flûte. S’y cache le fait de vivre notre joie dehors, sur les places publiques. Se profile tout le rêve de Dieu, tout son projet messianique d’implanter sa tente au cœur de monde. Dieu, le Dieu de nos origines, veut que tous les humains soient sauvés par la joie. La bonne nouvelle que ce mois missionnaire d’octobre annonce, c’est la joie.

2019-C-Lc 7,31-35- mercredi 24e semaine ordinaire - vivre notre foi hors les murs

Il y a beaucoup de profondeur dans cette scène du gamin qui joue de la flûte. S’y cache un mouvement de vivre notre joie dehors, sur les places publiques. Se profile tout le rêve de Dieu, tout son projet messianique, d’implanter sa tente au cœur de monde. Dieu, le Dieu de nos origines, veut que tous les humains soient sauvés par la joie. La bonne nouvelle que ce mois missionnaire d’octobre annonce, c’est la joie.

2017-A-Luc 7, 31-35 -mercredi 24e semaine ordinaire- jouer de la flûte

Nous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas dansé. Nous avons entonné des chants de deuil, et vous n’avez pas pleuré (Lc 7,32). En s’adressant ainsi aux pharisiens et aux docteurs de la loi, Jésus leur dit qu’ils passent leur temps à des choses futiles. Dans un langage imagé, Jésus exprime une vérité qui risque de les choquer : vous êtes déconnectés de la vie. Déconnectés d’une religion pour tous, incluant les moins respectueux de la loi.

2014-A-Lc 7, 11-17-mardi 24e semaine ordinaire-vraiment un cortège funèbre ?

En écoutant cet évangile, cette femme qui pleure son fils, nous ne pouvons pas oublier tous ces drames qui ensanglantent notre terre. Irak, Syrie, Israël, Gaza, Nigeria, Soudan, Centre Afrique… des populations sont obligées de fuir pour ne pas se faire massacrer ; des femmes sont enlevées, contraintes d’abjurer leur foi chrétienne et de se convertir à un Islam radicalisé sous menace de mort ; des chrétiens en grand nombre sont pourchassés et persécutés, au milieu d’une indifférence presque générale. De partout retentit un grand désir de vivre.

2013 - C: -Lc 7, 11-17 Mardi 24e semaine ordinaire : mort d'un fils unique, la visite de Dieu

Cette page décrit bien notre historie quotidienne à chacun de nous, histoire faite de douleur, d'angoisse, de tristesses, avec ces catastrophes, guerres et toutes ses calamités. Latendresse de Dieu dont parle le pape François, se laisse voir ici. En la voyant, et que c'est beau à observer, Jésus fut saisi de pitié, touché au-dedans par la détresse de cette femme.

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