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Luc 4

2021-B-Lc 4, 38-44 - mercredi de la 22e semaine ORDINAIRE-un beau métier, faire du bien

Tous les jours, nous vivons une multitude de rencontres. Il arrive que l’une d’entre elles se transforme après coup en un événement qui influence nos vies. La rencontre de Paul avec celui qu’il persécutait s’est transformée après coup en un événement-ravissement d’entendre des paroles qui ne peuvent être redites. Il ne savait plus s’il était dans son corps ou hors de son corps (2 Co 12,4). Tellement touché que sa vie de tueur se transforma en celle de « sauveur » de Jésus.

2020-A-Lc 4, 38-44 -mercredi 22e semaine ordinaire- le plus beau métier du monde

Jésus n’a jamais perdu le sens du plus beau métier du monde : prendre soin des personnes vulnérabilisées par une maladie, quelle qu’elle soit. Nous prenons soin de quelqu’un parce que nous sommes préoccupés de son bien-être, de sa situation financière, de sa santé mentale, de sa foi aussi. Dans le monde hospitalier, prendre soin vise à guérir, restaurer, accompagner et prodiguer les derniers soins aux mourants.

La pandémie – c’est son beau côté – a mis en évidence une kyrielle de gens qui plus que d’offrir des soins, plus que de mécaniser leur aide, ont porté au risque de leur vie une attention particulière, bienveillante, bienfaisante aux personnes confinées. Ils ont pris soin des personnes plutôt que de leur offrir des soins.

2019-C-Lc 4, 38-44- mercredi 22e semaine ordinaire- prendre soin de Jésus

Quelle est cette grâce et [cette] paix dont parle Paul? Et il donne lui-même cette réponse : c’est connaître Jésus. Connaitre Jésus pacifie, réconcilie et conduit à être animé de son amour, à ne jamais prononcer un mot qui sert à diviser, jamais un mot qui apporte la guerre, de petites guerres, jamais [de] bavardages[1]. Cette grâce et cette paix ne consistent pas à résoudre tous les problèmes, mais bien à entrer au cœur des problèmes pour les voir de l’intérieur.

2016-C-Lc 4, 14-22 - samedi 7e semaine ordinaire - méprisé à cause de ses parents

Tous avaient les yeux fixés sur lui. Mais une question surgit : qui voient-ils ? Si tous sont frappés d'étonnement devant la sagesse de sa prédication dans le temple, tous ne voient que le fils du charpentier dont la mère se nomme Marie. Son origine seule les impressionne. Ils sont choqués tant ils ne voient dans Jésus que le fils du charpentier. Jésus se voit méprisé à cause de ses parents (saint Hilaire).

2014-A-Lc 4, 31-37-mardi 22e semaine ordinaire- frappé par son autorité

Par sa manière de parler, Jésus fascinait. Il faisait fureur tant son langage était convaincant. Sa grande capacité de communiquer étonnait. Attirait. Jésus tenait, dirions-nous aujourd'hui, un langage charismatique. Sa parole avait beaucoup d'impact. Elle appelait respect et obéissance. Les chefs religieux et politiques n'en revenaient tout simplement pas. On était frappé par son enseignement parce que sa parole était pleine d'autorité. À preuve, Luc ajoute l'épisode d'un homme possédé par un esprit démoniaque et que Jésus libère de son emprise.

2013 - C: Lc 4, 31-37 Mardi 22e semaine ordinaire - reconnaître Jésus qui se fait discret

Il y a en nous une certaine aptitude à voir Dieu. À Le reconnaître. Celui qui nous a crées à déposer en nous un germe, un immense germe capable de Le reconnaître dans le cosmos, en nous. Cela est vrai aussi pour ce démon, cet habitant non désiré de notre monde pour citer Guillaume de saint Thierry dont parle Luc et qui reconnaissait Jésus comme le saint, le saint de Dieu.

2013 -C: Lc 4, 24-30 Lundi 3e semaine carême- la boussole de la confiance

Comme elle est émouvante cette veuve de Sarepta, une païenne de surcroit. Sans qu'on puisse savoir pourquoi, son histoire de confiance, son histoire de foi, nous touche, nous interpelle. Elle a fait un pacte, une alliance avec le prophète. Elle, qui n'avait plus rien à perdre et dont la situation était sans issue, a fait confiance en donnant tout ce qu'elle avait pour vivre. Elle a fait tout ce que le prophète lui demandait et Dieu, par la voix du prophète, lui a octroyé du pain en abondance. Parce qu'elle a fait pénétrer la Parole de Dieu dans son coeur, cela a changé sa vie misérable en une vie d'abondance.

2013 - C: Lc 4, 1-13 Dimanche 1e semaine carême : sommes-nous des «désireux» de Dieu

Tout ce qui est interdit est désiré, dit un proverbe irakien. Cela décrit bien notre quotidien. Nous sommes des « désireux». Pour notre société, il est normal de nous faire désirer toujours posséder davantage. Ces désirs peuvent nous coûter cher dans tous les sens du terme. Financièrement d'abord, mais aussi il nous rend d'éternels insatisfaits de ce que nous avons. De ce que nous sommes. Nous ne savons pas nous satisfaire de ce qui nous suffit.

2011-A-Lc 4, 24-30 Lundi 3e semaine carême : veuve en Israël

Ce passage, qui suit celui de Jésus venant de déclarer dans le temple qu'aujourd'hui s'accomplit les Écritures, impressionne par la réponse de Dieu à ceux et celles qui lui donne hospitalité. À ceux et celles qui le reconnaissent comme l'Envoyé du Père. Nous qui, comme l'exprime l'antienne d'ouverture de ce matin, nous nous épuisons à désirer ta présence, Seigneur, nous qui venons de clamer que mon âme a soit du Dieu vivant, quand le verrai-je face à face?, avons peine à saisir que l'Envoyé du Père est non seulement proche de nous, mais qu’il est visible à chacune d'entre nous.

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